Outils et publications
Momentum – Édition – Juin 2011
2011
Bulletin économique du Chantier
Sommaire:
- Voir grand pour la construction de l’économie sociale et solidaire
- Capitalisation des entreprises et marché secondaire
- FIESS 2011 – Entre connaissance et reconnaissance
- L’ÉCONOMIE SOCIALE, J’ACHÈTE – Reconnaissance de la place des entreprises d’économie sociale dans l’économie du Québec
- Coopératives laitières au Népal – De grands changements pour de petites communautés
- Les entreprises d’insertion sont rentables
À quand l’option collective pour assurer la relève en entreprise?
Momentum – Édition – Juin 2010
2010
Bulletin économique du Chantier
Sommaire:
- Vivement un changement dans le discours économique !
- Budget 2010 et révolution tarifaire
- L’aide à domicile… A-t-on les moyens de l’inaction?
- Commercialisation et services de garde non régis – Le modèle d’économie sociale est-il en péril?
Momentum – Édition – Janvier 2010
2010
Bulletin économique du Chantier
Sommaire:
- Un nécessaire changement de logique économique
- Le secret le mieux gardé de l’économie québécoise
- Concurrence déloyale vous dites? L’entreprise privée voit le monde à l’envers…
- Un avant-goût des tendances 2010
- L’économie sociale : une autre façon de faire de l’économie
- Stabilité et longévité des entreprises : une force à considérer !
Momentum – Édition – Octobre 2010
2010
Bulletin économique du Chantier
Sommaire:
- Pour un développement dynamique et solidaire des territoires
- Des outils financiers au service du développement des communautés
- Développement du territoire : Perspectives venant de l’indice de progrès véritable et empreinte écologique
- La culture : un partenaire indispensable du développement durable des communautés
- Logement 2010 : différents visages de la crise
- Des nouvelles de l’enquête annuelle sur les besoins de financement
- Journée de la ruralité 2010
Économie sociale et développement économique communautaire au Canada: prochaines étapes relatives à la politique publique
2005
Lorsque la question de l’économie sociale a été intégrée au programme d’action du Canada en 2004, elle a suscité un grand intérêt chez les intervenants communautaires et les décideurs. Elle a également soulevé de nombreuses questions concernant la définition, la portée et la pertinence de la politique publique. Les principaux objectifs du présent document consistent à mieux faire connaître à la population le principe d’économie sociale du point de vue de la politique publique et à appuyer le ralliement d’un consensus parmi les intervenants sur les prochaines étapes à suivre en vue de réaliser le programme d’économie sociale du gouvernement du Canada.
La valorisation écologique des rebuts au service des collectivités locales
2004
Feuillet d’information portant sur la collaboration entre les municipalités du Québec et les entreprises d’économie sociale en gestion des matières résiduelles dans les plans de gestion environnementale pour atteindre les cibles de réduction de l’enfouissement des déchets.
L’économie sociale bien ancrée dans nos façons de faire : un rouage essentiel du développement local
2004
Feuillet d’information portant sur L’économie sociale comme un élément essentiel du développement régional et local, bien ancré dans les pratiques et capable de répondre à une foule de besoins.
L’économie sociale en mouvement – Des capitaux pour un monde meilleur
2004
Sans une capitalisation suffisante et adaptée, une entreprise peut difficilement réaliser ses projets d’investissement (achat d’un immeuble, d’un équipement ou d’une nouvelle technologie, etc.) et risquer ainsi de mettre en péril sa croissance et son développement, voire sa pérennité. Les entreprises d’économie sociale (EÉS), coopérative ou organisme à but non lucratif (OBNL), ne font pas exception à ce besoin de capitalisation. Mais les moyens ou outils disponibles, adaptés à leur nature et à leur spécificité (satisfaction des besoins avant le profit, contrôle démocratique, autonomie de gestion, etc.), sont peu nombreux. Il est fréquent que les entreprises d’économie sociale souffrent d’une sous capitalisation chronique.
L’économie sociale en mouvement – Développer et convaincre par l’action
2003
Il faut convaincre ceux qui en doutent encore que l’économie sociale est une condition essentielle d’un développement plus harmonieux et durable et d’un modèle socio-économique plus inclusif et solidaire. Des milliers d’hommes et de femmes s’activent à revitaliser leur village ou leur quartier frappé par les règles du marché et de la mondialisation. Ils et elles expérimentent de nouvelles façons de planifier et de gérer collectivement le développement de leur milieu. Ils et elles démocratisent l’organisation du travail. Ils et elles innovent par leur quête de solutions concrètes. Ainsi, ces hommes et ces femmes ajoutent des valeurs et donnent un sens altruiste à l’activité économique.
L’économie sociale en mouvement – L’aide domestique: Tout un progrès!
2003
Assurer des services de qualité aux personnes âgées, offrir des conditions de travail décentes et intervenir en complémentarité des services dispensés par les CLSC, voici le défi que relève actuellement ce nouveau secteur des entreprises d’économie sociale en aide domestique.
L’économie sociale en mouvement – L’entrepreneuriat collectif: Pour les gens d’ici par les gens d’ici
2003
La diversité et l’importance de la contribution des entreprises collectives au développement social et économique s’illustre de plus en plus au quotidien. Elle évolue au profit du développement durable et de la revitalisation des communautés. Véritable moteur de l’économie locale, elle est au service des travailleurs et plus globalement, elle est au service de tout le monde. Ainsi, l’économie sociale fait vivre nos milieux et nous rend service à toutes les étapes de nos vies.
L’économie sociale en mouvement – Portraits de femmes et de leurs projets
2003
Les entreprises d’économie sociale ont le vent dans les voiles et leurs parcours sont remarquables. La contribution des femmes à cet espace social porteur d’avenir est tout aussi spectaculaire que méconnue. Autant capitaines de navire que matelots, les femmes y détiennent la majorité des emplois et des postes de direction. Des salaires honnêtes, des emplois valorisants. Plus de 6 200 entreprises (coopératives et organismes sans but lucratif) génèrent une activité économique de 4 milliards 316 millions qui ont fait naître 65 000 emplois. Pas entrepreneures, les femmes ?
L’économie sociale en mouvement – Des politiques publiques pour démocratiser l’économie
2003
La mise en place de politiques publiques en faveur de l’économie sociale est une nécessité pour sa construction et son épanouissement. La raison est assez simple : la reconnaissance et le soutien de l’État au développement de l’économie solidaire ouvrent l’accès à des moyens, notamment financiers, pour répondre adéquatement aux besoins de nos communautés. La construction d’une économie qui combat l’exclusion, qui respecte l’environnement, qui développe une citoyenneté active à travers l’autogestion et le contrôle démocratique, apporte à la société une contribution qui mérite une pleine reconnaissance et un soutien fort et durable de l’État.
L’économie sociale en mouvement – Médias communautaires: Quand la solidarité remplace la concentration
2003
Véritable carrefour du communautaire et de l’économie sociale, emblèmes de la démocratie, les médias communautaires et alternatifs du Québec diffusent une information différente, des points de vue ignorés par la presse commerciale, des nouvelles du coin écrites par les gens de la place et des analyses du monde témoins qu’il existe d’autres perspectives que celles de l’axe du mal et du bien, qu’il est possible de bâtir un monde respectueux de toutes et de tous.
L’économie sociale et Le Ministère de la Culture et des Communications : Quelques éléments de définition et de problématique
2002
L’économie sociale et le secteur culturel : L’urgence d’agir pour soutenir la démocratie culturelle
2002
Texte présenté par le Chantier de l’économie sociale au Ministère de la Culture et des Communications
L’économie sociale en mouvement – TIC : Des projets pour démocratiser l’inforoute
2002
Les nouvelles technologies sont indubitablement associées à la richesse. C’est d’autant plus vrai qu’il existe une fracture entre l’Internet des riches et celui des pauvres. Si les réseaux communautaires sont de plus en plus impliqués dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), leurs efforts en matière de formation et d’accessibilité à la Toile ne sont pas toujours reconnus. Afin de combler le fossé numérique, une économie sociale des TIC émerge actuellement.
L’économie sociale en mouvement – Les jeunes et l’économie sociale: Pour démocratiser l’entreprise
2002
L’économie sociale séduit de plus en plus de jeunes de moins de 35 ans: commerce équitable, coopération internationale et projets culturels alternatifs sont autant de projets portés par les jeunes. Selon le portrait de la main-d’œuvre de l’économie sociale et de l’action communautaire, réalisé en 2000 par le CSMO-ÉSAC, les jeunes de moins de 35 ans sont déjà très actifs et impliqués dans certains secteurs de l’économie sociale: les jeunes occupent plus de 50% des emplois du secteur loisir et récréotourisme, 45% dans les CPE et 48% dans les médias et nouvelles technologies.
L’économie sociale en mouvement – Économie sociale et ruralité
2002
L’économie sociale contribue à relever plusieurs défis du monde rural : occupation du territoire, prise en charge par le milieu, développement économique, développement durable, développement culturel et social, adaptation aux particularités du monde rural. «L’économie sociale pourra très difficilement se développer en milieu rural si on ne tient pas compte de ses caractéristiques propres, affirme Jacques Proulx, président de Solidarité rurale. La densité de population est faible et les distances sont grandes.» Faisant preuve de dynamisme, d’imagination et de détermination, les entrepreneurs collectifs du monde rural apportent des solutions originales de développement économique et assurent le maintien et la vitalité des communautés locales.
L’économie sociale en mouvement – Culture : Joindre l’agréable au social
2002
La plupart de ces activités culturelles sont produites par des organismes sans but lucratif qui appliquent les principes des entreprises d’économie sociale depuis toujours : un fonctionnement démocratique, la poursuite d’une mission sociale, une implication et un enracinement dans leur communauté. Les entreprises du secteur culturel en économie sociale sont multiples. Des théâtres aux festivals et fêtes de quartiers ou de villages, des écomusées aux maisons d’éditions, du développement des arts du cirque au développement des cultures émergentes, elles animent et rendent attrayants les milieux de vie, créent une relève artistique, contribuent à nourrir et faire rayonner la culture québécoise et sont un apport économique et social important partout au Québec.
L’économie sociale en mouvement – CPE : Un milieu qui fourmille de projets
2002
On entend beaucoup parler des attentes légitimes des parents pour une place dans un Centre de la petite enfance et des demandes toutes aussi légitimes des éducatrices pour améliorer leurs conditions de travail. L’accessibilité financière et la qualité des services offerts ont rendu la formule extrêmement populaire. Cinq ans après le lancement de l’objectif « 200 000 places », le développement à un rythme très accéléré des CPE est maintenant bien assumé. Le réseau des quelques 900 CPE fourmille aujourd’hui de projets novateurs dont on entend moins parler. Portrait de ce gigantesque réseau d’entreprises collectives et de ses défis.
L’économie sociale en mouvement – Pour des échanges libres et équitables : L’économie sociale au-delà des frontières
2002
« Pour mondialiser autrement, il faut apporter des preuves que des alternatives économiques et sociales existent » avance Michel Séguin, directeur général du Réseau des Ressourceries du Québec. Dans ce sens, les rencontres internationales sont de véritables catalyseurs qui permettent à des gens de partout de réaliser qu’ils ont non seulement des objectifs communs, mais aussi qu’ils partagent les mêmes réalités. Des idées à revendre et des expertises à échanger : tout est alors en place pour développer des partenariats.
L’économie sociale en mouvement – Des entreprises à visage humain
2001
Les entreprises d’économie sociale gèrent des activités économiques oui, mais d’abord la poursuite d’une mission sociale. Derrière les gestionnaires, les produits et les services, il y a les gens. Des travailleurs et travailleuses issus-es d’un peu partout, avec des expériences de vie variées, aux prises avec des réalités différentes et un objectif commun : le bien être de la communauté.
L’économie sociale en mouvement – Patrimoine communautaire : De multiples formes pour de multiples avantages
2001
Le patrimoine, c’est ce qu’on a bâti de précieux au fil d’une vie et qu’on lègue à ceux qui nous suivent. Il en est ainsi pour les individus comme pour les communautés. Les habitations communautaires, les camps de vacances et auberges de jeunesse, les écomusées et les centres populaires et communautaires font partie de notre patrimoine. Inaliénable et accessible universellement, ce patrimoine communautaire appartient collectivement à ses membres qui sont plus d’une centaine de milliers, acteurs de l’économie sociale et de l’action communautaire. Ils contribuent ainsi à la revitalisation des milieux par l’habitation sociale, l’accès universel aux loisirs et à la nature et la conservation patrimoniale et culturelle de certains pans de notre histoire.
L’économie sociale en mouvement – Développement local et économie sociale : Une relation tissée serrée
2001
Parce qu’elles entretiennent des liens étroits avec les collectivités locales et les milieux où elles sont implantées, les entreprises d’économie sociale sont souvent les mieux placées pour reconnaître et interpréter les nouveaux besoins en émergence et y répondre de façon concertée. Elles sont le lieu de création de véritables innovations sociales, qui sont souvent reprises par le secteur public et le marché. La nature même de leur mission les amène à poursuivre des objectifs qui procèdent d’une tout autre rationalité que celle de l’entreprise traditionnelle : utilité sociale, prise en charge individuelle et collective, revitalisation d’une collectivité, création d’emplois, etc.
L’économie sociale en mouvement – Coops funéraires : L’engagement collectif, À la vie, à la mort
2001
Depuis près de dix ans, le marché funéraire québécois est envahi par des entreprises multinationales flairant les profits que pourrait engendrer la croissance des décès au cours des 45 prochaines années. Le réseau des coopératives funéraires québécoises veut protéger le caractère public de ce marché et offrir des services funéraires à moindre coût.Portrait d’un réseau d’entreprises d’économie sociale qui favorise la prise en charge des gens de leur destinée, jusqu’au bout de l’aventure humaine!
L’économie sociale en mouvement – Commerce équitable : L’éthique, c’est pas du toc
2001
Dans bien des cas, les échanges commerciaux sont à sens unique, favorisant les pays du Nord au détriment de ceux du Sud. Il existe désormais des voies alternatives, un commerce encadré, équitable, loin du capitalisme sauvage et des aides humanitaires. Ce commerce éthique s’organise. De plus en plus, nos concitoyens sont sensibles à des échanges… éthiques et conscients du fait qu’il existe une alternative au commerce dominant. Mais bien du chemin reste à parcourir puisque peu d’entreprises dans le monde sont certifiées « éthiques ».
L’économie sociale en mouvement – Les coopératives dans l’économie sociale
2000
Les coopératives ont le vent dans les voiles. Lassés de se faire ballotter comme des sacs de mauvais grain dans les entreprises traditionnelles, de nombreux employés ont décidé de créer leur propre entreprise sous forme coopérative. Par choix de vie, afin d’avoir un meilleur environnement de travail et de bénéficier de plus de respect dans leur vie quotidienne mais aussi parce que le milieu
coopératif est dynamique. Depuis 1994, on assiste à une croissance importante du nombre d’emplois créés. Mieux, la durée de vie des coops est supérieure à celle des entreprises traditionnelles. Malgré ces réussites, les coopératives sont encore mal perçues par bon nombre d’institutions financières et peinent à trouver du financement.
L’économie sociale en mouvement – Portrait statistique de l’économie sociale et de l’action communautaire
2000
Au moment de réaliser son premier diagnostic de main-d’œuvre, en 1998, le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’économie sociale et de l’action communautaire (CSMO-ESAC) s’est buté à un mur l’absence d’informations pertinentes pour mener à terme son projet. Une première étude sur les outils d’évaluation et les banques d’information démontrait, certes, l’existence de données sur l’action bénévole, sur les coopératives, sur les organismes sans but lucratif, sur les métiers et professions, mais celles-ci sont éparpillées entre plusieurs ministères sectoriels, entre divers paliers de gouvernement, enfouies au milieu de statistiques diverses sans moyen de les distinguer, collectées le plus souvent à des fins administratives, incomplètes sous l’angle de la main-d’œuvre et de l’emploi.
L’économie sociale en mouvement – Pour une nouvelle reconnaissance du loisir
2000
L’environnement social et économique québécois, au sein duquel se développe le loisir, a subi des mutations considérables au cours des dernières années. Ces changements ont des effets indirects importants sur le loisir et sur son organisation. On observe parmi ces facteurs l’évolution du rôle de l’État, le métissage culturel, le vieillissement de la population, la progression des coûts de santé, la croissance de la sédentarité, les nouvelles réalités économiques, les problématiques affectant les jeunes dont le décrochage scolaire, la situation du marché de l’emploi, l’exclusion, l’appauvrissement de nombreux citoyens, la place croissante des technologies et du secteur privé.
L’économie sociale en mouvement – Environnement, Un nouvel entrepreneuriat est né
2000
L’environnement social et économique québécois, au sein duquel se développe le loisir, a subi des mutations considérables au cours des dernières années. Ces changements ont des effets indirects importants sur le loisir et sur son organisation. On observe parmi ces facteurs l’évolution du rôle de l’État, le métissage culturel, le vieillissement de la population, la progression des coûts de santé, la croissance de la sédentarité, les nouvelles réalités économiques, les problématiques affectant les jeunes dont le décrochage scolaire, la situation du marché de l’emploi, l’exclusion, l’appauvrissement de nombreux citoyens, la place croissante des technologies et du secteur privé.